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Big pharma = prédateurs ?

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Les logiques financières conduisent les Big Pharma à " acheter" les innovations et leurs chiffres d'affaires, plutôt que de les produire eux-mêmes.

Image d'illustration de laboratoires

 

La dynamique de l’économie du médicament est tributaire des temps longs de recherche et développement, qui représentent son moteur essentiel. L’innovation pharmaceutique suppose donc permanence et constance dans l’effort.

Pourtant le retour en masse d’opérations de concentration en 2014 (fusions & acquisitions, échanges d’actifs, joint-venture) renvoie l’image inversée de big pharmas qui se comportent en prédateurs d’innovation et de portefeuille de médicaments, et qui se livrent à un Monopoly mondial dans la recherche de positions de leadership. L’emploi de ces groupes est le grand perdant de ces opérations qui se soldent le plus souvent par des coupes sombres au titre des « synergies » et qui contribuent à déstabiliser les collectifs, notamment en R&D.

Syndex analyse dans une note synthétique les grandes opérations de concentration de 2014 (supérieures à 5 Mds $), pour en faire ressortir les principaux leviers et risques.

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